Marie-Thérèse Blanchar

Nous vous présentons nos sincères condoléances à toute la famille et partageons votre peine en ces moments difficiles
Monsieur et Madame Lemoine serge (parents d'Elodie)

"Quand on perd quelqu’un, c’est comme si le monde basculait soudain dans une autre dimension. Une sensation d’irréalité s’installe, envahissant tout. Le temps semble se figer, chaque geste devient lourd, chaque mot sonne faux. Rien n’a de sens, comme si la vie elle-même avait perdu son fil conducteur. Les repères que l’on croyait solides s’effondrent en silence, laissant place à un vide immense.

On se retrouve à naviguer dans un brouillard épais, entre le souvenir de ce qui était et l’incompréhension de ce qui est devenu. Tout semble incohérent, comme si l’univers s’était dérèglé. Les rires, les conversations, les petits instants du quotidien qui nous semblaient si ordinaires prennent soudain une dimension étrange, presque irréelle, tant la personne qui leur donnait vie n’est plus là pour les habiter.

Et au fond de soi, une douleur sourde, une absence qui ne trouve pas de mots. On tente de reprendre le cours des choses, mais rien ne suit, car c’est une partie de nous qui s’est arrêtée avec l’autre. On vit dans l’ombre d’un manque, figé dans ce moment où tout a changé, et pourtant, tout continue à avancer sans nous.

On se retrouve face à cette absence, cette perte irréparable, avec un cœur qui cherche encore des réponses.

Et pourtant, malgré la douleur, malgré l’incohérence, nous sommes contraints de continuer. La vie ne nous laisse pas le choix. On se lève chaque matin, on avance tant bien que mal, même si tout semble brisé en nous. Il faut apprendre à composer avec cette réalité brutale, à accepter que certains jours seront plus durs que d’autres, que la douleur reviendra par vagues inattendues.

Mais dans ce chemin difficile, on trouve aussi la force. Une force que l’on ignorait posséder, celle de continuer malgré tout, de reconstruire des fragments de vie là où tout semblait avoir disparu. Peu à peu, le temps n’efface pas la perte, mais il nous apprend à marcher avec elle, à avancer dans cette nouvelle réalité, même si elle est douloureusement différente.

Charlotte Cellier"

J’ai été très choquée et peinée car j’appréciais beaucoup votre maman.Nos échanges sérieux et amusants sur la société me manqueront beaucoup.
Je garderai d’elle un excellent souvenir.Je vous présente à vous et à toute votre famille mes condoléances les plus attristées
Nathalie

Nous te présentons toutes nos condoléances et te témoignons toute notre amitié et le soutien dont on a besoin dans difficiles moments. Même si nous nous ne sommes pas là physiquement tu sais que toutes nos pensées vont vers ta famille et ta fille. Je garde de ta maman entre autre l’image d’un père Noël certes assez paniqué mais qui a très bien joué son rôle.
Hervé

Je vous présente mes plus sincères condoléances et partage votre peine en ces moments difficiles. Françoise (belle-mère d'Élodie)